Quel étrange moment à nouveau mercredi soir, en direct de la Maison-Blanche. Ces 15 minutes étaient plus près du hurlement que du discours présidentiel.
Après le massacre antisémite de la plage Bondi, le premier ministre australien a promis un resserrement du contrôle des armes à feu.
En marge du massacre de Sydney, il y a cette vidéo pleine de lumière : ce costaud bonhomme qui attaque à mains nues un terroriste tirant du juif à l’arme longue en lui sautant dans le dos, qui le désarme et qui le met en fuite.
« Moi aussi je suis une sale conne. »
Les signes sont partout : l’ordre du monde est en train de s’écrouler, là , devant nous, à la 1989. Sans les images du mur de Berlin qui s’écroule. Les signes sont partout : les États-Unis ne sont plus une force démocratique.
Depuis qu’il est secrétaire à la Défense, Pete Hegseth s’est distingué davantage par son assiduité au gymnase que par son intellect.
Si Donald Trump cherchait une validation du déploiement militaire dans les villes américaines, l’attentat de mercredi vient de la lui offrir.
Quand le président ukrainien Zelensky a été humilié en pleine Maison-Blanche en février dernier, j’avais décrit un nouveau monde à l’envers où le blanc était noir, où le faux était vrai1. L’année tire à sa fin, le monde n’est pas revenu à l’endroit.
C’est le fardeau des survivants dans tous les conflits. Raconter l’horreur à laquelle ils ont échappé. Donner une voix à ceux qui n’ont pas eu cette chance.
Les accusations dictées par Donald Trump contre deux de ses « ennemis » sont rejetées. La manœuvre était si grossière qu’il n’y a pas vraiment de surprise ici.
Cinq semaines avant l’invasion de l’Ukraine par la Russie, la journaliste russe Elena Chernenko s’était moquée des demandes que Vladimir Poutine avait adressées à l’Ukraine et à l’OTAN.
Quand des pizzas se sont mises à arriver chez lui, le juge John McConnell a été intrigué.
(Tokyo) « Imaginez que vous jouez au baseball. Votre équipe a seulement le droit d’attraper des balles alors que l’autre peut en lancer et en attraper. Qui remportera la partie ? C’est comme ça qu’on joue, et ça n’a pas de sens. »
La journaliste d’ABC s’est adressée directement au prince héritier Mohammed ben Salmane, assis au côté de Donald Trump dans le bureau Ovale, mardi.
Si un jour Donald Trump est emprisonné, ce ne sera pas à cause de l’affaire Epstein.
Un juge de 79 ans qui prend sa retraite n’est pas le genre d’évènement qui sème la frénésie dans une salle de rédaction.