Ma première Hanoukka
Edith Pineault a été invitée à participer à la fête de Hanoukka par des amis juifs, alors que la même célébration tournait à la tragédie en Australie.
Edith Pineault a été invitée à participer à la fête de Hanoukka par des amis juifs, alors que la même célébration tournait à la tragédie en Australie.
L’élection d’un président d’extrême droite au Chili a ravivé de douloureux souvenirs dans la famille de Nicolas Cabrera
Se basant sur sa propre expérience et ses observations, l’auteure considère que le domaine communautaire banalise l’épuisement professionnel, ce qui est le symptôme d’un échec collectif qui ne devrait plus être toléré.
Sophie Paré explique pourquoi le projet d’indépendance du Québec ne l’emballe pas.
Comment évoluer… sans pour autant suivre aveuglément les tendances ? À l’approche de la soixantaine, Patrick Senécal tente d’avoir l’humilité de ne pas devenir de ces bonshommes qui l’exaspéraient lorsqu’il avait 20 ans. Tout en restant critique.
Ces derniers jours marquent un anniversaire symbolique : cela fait dix ans que j’ai choisi le Québec. Dix ans que j’ai quitté Manchester, au New Hampshire, pour m’installer dans la société de laquelle j’avais hérité la langue, la mémoire et le sens du collectif sans pouvoir les vivre pleinement. Dix ans que je suis revenu, d’une certaine manière, sur la terre de mon père – pour enfin vivre en français autrement qu’à contre-courant.
Dans un rapport publié en novembre, le commissaire à la langue française, Benoît Dubreuil, soulève une inquiétude légitime : la forte concentration d’élèves issus de l’immigration dans certaines écoles de Montréal et de Laval réduit les occasions de contacts interculturels avec le groupe majoritaire francophone1.
Madame la ministre, Monsieur le premier ministre,
J’y étais, il y a 36 ans, au cœur de cet évènement tragique. J’y étais, dans la classe où tout a commencé. Et depuis ce 6 décembre 1989, depuis 36 ans, je vis avec la ferme conviction que parmi tous ceux qui ont dû subir ce drame de près ou de loin, je suis celui qui a eu l’opportunité la plus tangible d’empêcher ce cauchemar de se produire.
Au calendrier, le 3 décembre, une autre Journée internationale des personnes handicapées. Une autre journée pour se rappeler l’existence de 15 % de la population. Une minuscule journée pour 15 % de la population, ça en fait du monde, non ? Et pourtant…
J’écris de l’aéroport, en partance vers Québec après deux semaines passées à Belém pour la COP30. Ma journée du 23 novembre résume bien le tiraillement ressenti au cœur de ces négociations : la fracture entre l’urgence de l’action et la lenteur du processus onusien.
Rima Belaidi craint de perdre tout ce qu’elle a bâti au Québec avec son mari et de devoir l’annoncer à leur fils de 7 ans qui adore sa vie ici.
Deux romans de Dany Laferrière, l’un publié il y a 40 ans, l’autre il y a 10 ans, servent de point de départ à la réflexion d’Orlando Ceide sur son Québec.
Christian Beauchemin se confie sur son deuil douloureux de sa fille afin d’inviter les personnes qui ont perdu un proche par suicide à ne pas abandonner et à chercher de l’aide.
Vous avez vécu une expérience personnelle, surmonté une épreuve ou l’actualité vous touche personnellement ? La section Dialogue est à la recherche de témoignages humains qui font réfléchir. Nous recherchons des textes qui proposent un regard différent, incarné, toujours dans le but de nourrir la réflexion et d’apporter plus de sens à ce qui nous interpelle. Comment faire ? Ci-dessous, appuyez sur « Exprimez-vous ! ». Soyez concis (visez 600 mots) et précis, votre texte pourrait être publié prochainement !
Nous sommes un vendredi d’octobre, dans une petite ville de région éloignée. Une mère marche vers la porte d’une maison d’hébergement pour femmes en situation de violence conjugale, où elle est attendue. Quand elle n’était qu’une fillette, elle a séjourné à cet endroit. Elle y est de retour, 30 ans plus tard.