Nora Bouazzouni
Journaliste indépendante, écrivaine et traductrice, elle écrit sur les questions d’alimentation, le genre et la pop culture. Elle est membre du comité éditorial de La Déferlante.
©CHLOÉ VOLLMER-LO
Journaliste indépendante, écrivaine et traductrice, elle écrit sur les questions d’alimentation, le genre et la pop culture. Elle est membre du comité éditorial de La Déferlante.

Ses articles

 

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Y a‑t-il un backlash antiféministe sur la première radio de France ?

Depuis dix ans, les luttes sociales voient leur temps d’antenne s’amenuiser sur France Inter. Sous couvert de plu­ra­lisme, de renou­vel­le­ment ou d’économies, la « première radio de France » a rétro­gra­dé ou remercié nombre de jour­na­listes, producteur·ices et chroniqueur·euses marqué·es à gauche. Cette rentrée, c’est au tour des féministes.
Rencontre
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« Le journalisme est un engagement », rencontre entre Salomé Saqué, Marine Turchi et Lorraine de Foucher

Marine Turchi, 42 ans, jour­na­liste à Mediapart, Lorraine de Foucher, 38 ans, Prix Albert-Londres en 2024 pour ses enquêtes dans Le Monde, et Salomé Saqué, 30 ans, jour­na­liste au média Blast, sont de cette géné­ra­tion pour qui #MeToo a marqué un tournant. Depuis dix ans, elles docu­mentent et nour­rissent cet immense mouvement d’émancipation. Mais elles subissent en retour des attaques per­son­nelles et ren­contrent des dif­fi­cul­tés crois­santes à opposer les faits aux théories complotistes.
Dans Partir un jour, Amélie Bonnin (à droite) a donné à Juliette Armanet (à gauche) le rôle d’une ex-gagnante de l’émission « Top Chef » qui revient aider ses parents dans leur restaurant familial. Crédit photo : Manou Milon
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Féminisme

Amélie Bonnin : « De plus en plus de réalisatrices incarnent des modèles »

Mardi 13 mai, en ouverture du Festival de Cannes sera présenté Partir un jour, le premier long métrage de la réa­li­sa­trice Amélie Bonnin, également direc­trice artis­tique de La Déferlante. Adapté d’un court métrage portant le même titre et primé aux Césars en 2023, il met en scène une jeune cheffe pari­sienne (Juliette Armanet) qui rentre dans sa ville natale et retrouve son amour de jeunesse (Bastien Bouillon). Une fois n’est pas coutume, nous lui donnons la parole dans cette newsletter. 
Analyse

Comment filmer l’avortement ?

« L’Événement », réalisé par Audrey Diwan, en 2021, une adap­ta­tion du livre éponyme d’Annie Ernaux, et « Portrait de la jeune fille en feu », de Céline Sciamma (2019) ont en commun de mettre en scène un avor­te­ment. Décryptage par Geneviève Sellier, pro­fes­seure émérite en études ciné­ma­to­gra­phiques et ani­ma­trice du site collectif de critique féministe du cinéma et de la télé­vi­sion Le genre et l’écran.
Chronique

Mère de famille : la nouvelle star

Quelles repré­sen­ta­tions de la maternité la télé-réalité donne-t-elle ? Dans sa chronique sur la pop culture et le genre, la jour­na­liste Nora Bouazzouni s’intéresse aux mères de famille qui peuplent les pla­te­formes de replay et Instagram.
Dans Annie Colère, film de Blandine Lenoir sorti en 2022, l’actrice India Hair (au centre) incarne Claudine, militante du Mouvement pour la libération de l’avortement et de la contraception (Mlac). Aurora Films / Local Films
Analyse

Avortements à l’écran : les clichés persistent

Très peu repré­sen­té dans les arts visuels, l’avortement reste aussi un tabou à la télé­vi­sion et au cinéma. Mais à la faveur d’une nouvelle géné­ra­tion de scé­na­ristes, les inter­rup­tions volon­taires de grossesse trouvent désormais une place à l’écran.
Alice Zeniter & Camélia Jordana au Musée national de l'Histoire de l'immigration en septembre 2023 par Lynn S.K. pour La Déferlante 12 - Rêver
Rencontre

Camélia Jordana & Alice Zeniter

La chanteuse Camélia Jordana et l’écrivaine Alice Zeniter ont connu très tôt le succès, et le vertige de passer pour des jeunes filles modèles. Une image dont elles se sont affran­chies en pointant toutes deux le poids de l’impensé colonial dans la mémoire col­lec­tive, le racisme anti-Arabes et la per­sis­tance des violences poli­cières. Rencontre entre deux artistes qui n’ont plus peur de déranger.
Mock-up chronique Nora Bouazzouni « Le sport selon netflix : souffrance et mâle » - La Déferlante 12
Chronique

Le sport selon Netflix : misogyne et viriliste

Succès d’audience, le docu-série Formula 1 promeut une vision viriliste et abusive de la Formule 1, affirme dans cette chronique la jour­na­liste Nora Bouazzouni. Une souf­france et un entre-soi masculin glorifiés et jamais questionnés.
illustration : Maëlle Réat pour La Déferlante « Barbecue : les féministes marchent sur des braises »
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Barbecue : les féministes marchent sur des braises

Dernière news­let­ter de notre série sur les mots de l’été (car après tout, la rentrée n’est que lundi !). Cette semaine, Nora Bouazzouni revient sur la polémique autour du « barbecue » de l’été 2022. Pourquoi donc les propos de Sandrine Rousseau sur la consom­ma­tion de viande des hommes les ont-ils à ce point énervés ?
illustration de Maelle Réat pour La Déferlante « Affaire du burkini : le racisme à la plage »
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Affaire du burkini : le racisme à la plage

Jusqu’à la rentrée, dans notre news­let­ter, Nora Bouazzouni revient sur des mots qui ont fait l’actualité estivale. Cette quinzaine, elle s’intéresse au burkini, ce maillot de bain couvrant qui, chaque année à la belle saison, affole élu·es et médias, au mépris de la liberté des femmes à se vêtir comme elles l’entendent.
Illustration de Maelle Réat pour La newsletter de La Déferlante «Jets privés : balance ton transport ! »
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Jets privés : balance ton transport !

Jusqu’à la fin du mois d’août, dans notre news­let­ter, Nora Bouazzouni revient sur des mots qui ont fait l’actualité estivale. Cette quinzaine, elle nous parle des jets privés, ces avions pour ultra­riches qui conti­nuent à voler en dépit du dérè­gle­ment cli­ma­tique. Ne seraient-ils pas devenus un signe extérieur de masculinité ?
Illustration de PALM pour La Déferlante 11 - Histoire d'un slogan : « L’agresseur ne sonne pas, il a la clé »
Histoire d’un slogan
VSS

« L’agresseur ne sonne pas, il a la clé »

Chaque année, environ 213 000 femmes sont victimes de violences de la part de leur conjoint ou ex. La sentence « L’agresseur ne sonne pas, il a la clé » le résume par­fai­te­ment : l’endroit le plus dangereux pour une femme est celui où elle habite. 

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